PROMPSAULT (Jean-Henri-Romain)



PROMPSAULT (Jean-Henri-Romain)), érudit et canoniste, né à Montélimar, le 7 avril 1798, était l'aîné des douze enfants de Jean-Henri Prompsault et de Marie-Anne-Mar{276}celle Dourille, cultivateurs, qui s'établirent à Bollène (Vaucluse), vers 1806. Au dire des biographes, sa famille paternelle, originaire de Montboucher, était une des plus importantes, voire même une des familles nobles de cette commune au xvie siècle ; mais rien ne le prouve. Se destinant à l'état ecclésiastique J.-H.-R. Prompsault fit ses études au petit séminaire de Valence et au grand séminaire de Romans, après quoi ayant été ordonné sous-diacre le 2 juillet 1821, diacre le 3 novembre et prêtre, avec dispense d'âge, le 5 du même mois de la même année, il alla comme vicaire à Grâne. Deux ans après, il retournait au grand séminaire, en qualité de professeur de théologie et de dogme, poste qu'il abandonna le 1er septembre 1824, à cause de dissentiments avec le supérieur de cet établissement, pour devenir curé de Réauville. Or, curé, il se fit remarquer par son zèle sacerdotal ; mais comme il était surtout homme d'étude, il sollicita au bout d'un certain temps, la chaire de philosophie du collège royal de Tournon, qu'il obtint le 27 juin 1827, et qu'il semblait devoir occuper longtemps, lorsque les ordonnances de 1828 amenèrent son remplacement en imposant aux professeurs prêtres un serment que l'abbé Prompsault déclara ne pouvoir prêter sans l'autorisation de ses supérieurs ecclésiastiques. On lui proposa bien alors, comme compensation, une chaire de philosophie ou un emploi de principal dans un collège communal ; mais il se fit un point d'honneur de refuser et, se trouvant à Paris, où il était allé faire des démarches en vue d'être réintégré dans sa chaire de Tournon, il y suivit pendant quelque temps les cours de l'Ecole des chartes avec un tel succès qu'il obtint, à la fin de l'année scolaire 1829, le prix d'honneur, consistant en une allocation de 800 fr. pendant deux années successives, et finalement fut nommé 3e chapelain de l'hospice des Quinze-Vingts, le 1er novembre de cette même année 1829.
Moins d'un an après, l'abbé Prompsault devenu, par le fait des changements apportés dans l'administration de cet hospice, à la suite de la Révolution de 1830, l'unique chapelain des Quinze-Vingts, devait faire démarches sur démarches pour empêcher la fermeture de sa chapelle, puis la suppression de l'hospice lui-même, et, cela fait, il lui fallut se défendre contre l'archevêché de Paris, qui prétendait soumettre le chapelain des Quinze-Vingts à sa juridiction, bien qu'il en fût affranchi par différentes bulles pontificales. Enfin, c'est en 1832 seulement que notre abbé put se livrer tout à fait à son goût pour l'érudition, et ses premiers pas dans cette voie furent encore marqués par une querelle retentissante ; car, s'étant complu à relever les erreurs ou les méprises de différents paléographes, entre autres celles de l'éditeur Crapelet, celui-ci s'arrangea de façon à empêcher la publication de ce travail et, voyant cela, l'abbé Prompsault le prit alors directement à partie dans un Discours sur les publications littéraires du moyen-âge, auquel Crapelet, répondit en publiant : Villonie littéraire de l'abbé Prompsault, écrit dont le titre est une allusion à la publication des œuvres de Villon par notre abbé, et dans lequel les arguments sont mêlés d'injures. L'abbé Prompsault ne manqua pas de répliquer, il le fit même vertement ; mais, trouvant ensuite et avec raison qu'il avait autre chose à faire, il délaissa ce genre d'érudition pour s'occuper de linguistique et de traductions d'auteurs ascétiques.
Dans ce nouvel ordre d'idées, l'abbé Prompsault, dont la puissance de travail était vraiment étonnante, élabora en quelques années douze ou quinze ouvrages parmi lesquels il en est d'une très grande importance ; mais, ce sont précisément ceux qui lui coûtèrent beaucoup de peine et sur lesquels il comptait le plus, qui ne lui donnèrent que des {277}mécomptes. En dépit de l'excellent accueil fait à une Grammaire latine qui devait former cinq volumes, la publication de cet ouvrage s'arrêta avec le premier, faute d'un nombre suffisant de souscripteurs. D'un Dictionnaire de la même langue il ne parut, pour les mêmes raisons, que le prospectus spécimen, et un Glossaire du langage français du moyen-âge, en 10 ou 12 vol. in-folio, ne put pas même avoir de prospectus. Découragé mais non lassé par ces échecs, l'infatigable travailleur se mit alors à étudier le droit ecclésiastique dans ses rapports avec le droit civil français, et, dès le mois d'avril 1846, il publiait dans la Voix de la vérité, journal de l'abbé Migne, plusieurs articles sur les libertés gallicanes et les articles organiques. C'était se jeter dans la bataille, la fameuse querelle des gallicans et des ultramontains, qui n'est plus aujourd'hui qu'un lointain souvenir, étant alors dans toute son acuité ; il en résulta que notre abbé s'étant posé en champion du gallicanisme, les ultramontains l'attaquèrent, et la publication de son Dictionnaire de droit et de jurisprudence, en 1849, c'est-à-dire au lendemain de son échec comme candidat à la représentation nationale dans le département de la Drôme, rendit même ces attaques de plus en plus vives. Mais l'abbé Prompsault s'en émut si peu que, non content d'y répondre, il se mit à donner des consultations à tous les prêtres ayant des difficultés, soit avec leur évêque, soit avec l'autorité civile, qui s'adressaient à lui, consultations dont la Voix de la Vérité publia jusqu'à vingt-cinq dans un même numéro, ce qui donna lieu à de telles plaintes que l'abbé Migne crut devoir lui fermer les colonnes de son journal en 1852. Or, ce n'était certes pas là une mesure capable d'arrêter l'abbé Prompsault, qui, tout en continuant à donner des consultations, s'attaqua aux Institutions liturgiques de D. Guéranger, puis fit paraître des Observations sur l'encyclique pontificale du 21 mars 1853 ; enfin, le marquis de Régnon s'étant élevé contre ces Observations, dans l'Unité catholique, notre abbé lui répondit en publiant Du siège du pouvoir ecclêsiastique dans l'église de Jésus-Christ, livre que le cardinal de Bonald condamna le 11 novembre 1853 et qui fut mis à l'index. Ce fut ensuite l'archevêque de Paris, Mgr Sibour, qui le condamna (10 août 1854), puis le suspendit de ses fonctions ecclésiastiques (18 sept. 1854), pour avoir pris la défense de deux prêtres interdits ; l'abbé Prompsault fit appel de ces condamnations à Rome et devant le Conseil d'Etat, mais les choses traînèrent en longueur sans qu'il pût obtenir rien de plus que son rétablissement dans ses fonctions ecclésiastiques.
Lassé enfin, l'abbé Prompsault donna sa démission de chapelain des Quinze-Vingts, le 2 juin 1855, pour se retirer dans sa famille à Bollène. Il y vivait depuis deux ans, n'étant sorti un moment de sa retraite que pour prendre la défense de deux prêtres du diocèse de Valence, qu'il supposait avoir raison, lorsqu'il lui fallut retourner à Paris pour s'y faire faire une opération à l'œil, opération qui, tout en réussissant bien, ne l'empêcha pas de mourir, le 7 janvier 1858, du mal qu'on avait cru arrêter. Il laissait de très importants manuscrits et une bibliothèque de plus de 25,000 volumes, que le P. Lacordaire acquit pour son Ordre, quelques mois après. Décédé à Paris, l'abbé J.-H.-R. Prompsault fut enterré à Bollène.
BIO-BIBLIOGRAPHIE. - I. M. Prompsault (Paris, Appert, 1843), in-18 de 36 pp. Extrait de la Biographie du clergé cont., vii, 73e livr. avec portrait par Tailland. - II. M. l'abbé Prompsault, aumônier de l'hospice royal des Quinze-Vingts (Worms et Cie), in-8º de 16 pp., signé T. Extrait du Biogr. des ill. et des not. cont. (oct. 1844). - III. M. l'abbé Prompsault, aumônier de la Maison nationale des Quinze-Vingts. (Impr. de Mme Lacombe, 1855), in-18 de 16 pp., signé à la fin : Trémolière. Extr. des Arch. des hom. du jour. - IV. Notice sur M. l'abbé Jean-Henri-Romain Prompsault, art. signé : L'abbé G***, dans l'Observ. cath. {278}du 1er févr. 1858. - V. Biographie : M. l'abbé Prompsault, art. non signé, dans La Voix de la Vérité des 21-23 et 24-25 janv. 1858. - VI. Biographie : Notice sur M. l'abbé J.-H.-R. Prompsault, aumônier des Quinze-Vingts, à Paris, art. signé X..., dans le Mém. de Vaucluse du 28 janv. 1859. - VII. Notice sur l'abbé Prompsault, ancien aumônier des Quinze-Vingts, par Ad. Rochas. Paris, Renou et Maulde, 1860, in-8º de 11 pp. Extr. de la Biogr. du Dauph., ii 298. - VIII. L'abbé J.-H.-R. Prompsault, chapelain... Notice biogr. et litt., par M. Victor Advielle. Paris, Repos, 1862, in-8º de 175 pp., avec port. lith. - IX. Supplément à la notice biogr. et litt. sur l'abbé J.-H.-R. Prompsault, par M. Victor Advielle. S.l., 29 septembre 1891 ; in-8º de 12 pp., signé à la fin : J.-L.-P. et l'œuvre d'un frère de l'abbé Prompsault, ancien curé de Modène (Vaucluse). - X. Les Contemporains. J.-H.-R. Prompsault... 24 juillet 1898 ; petit in-4º à 2 col. de 16 pp.
ICONOGRAPHIE. - I. Portr. grav. sur cuivre in-8º. Buste de 3/4 à G., Tailland, sculp. Extrait de Biogr. du clergé contemporain. - II. Autre portr. in-8º. Buste de face. Lith. Petit, à Avignon.
La ville de Valence a donné à une de ses rues le nom de l'abbé Prompsault, dont il y a un buste en marbre, par Bastet, à la mairie de Bollène, et un médaillon également en marbre, par la duchesse d'Uzès, aux Quinze-Vingts.
BIBLIOGRAPHIE. - I. Un mot sur la partie du rapport de M. de Rambuteau, qui est relative à l'hospice royal des Quinze-Vingts aveugles. Paris, Casimir, 1832, in-18 de 12 pp.
II. Œuvres de Maistre François Villon, corrigées et complétées d'après plusieurs manuscrits... Paris, Techener, 1832, in-8º de 479 pp.
III. Le petit jardin des roses et la vallée des lis, trad. du B. Thomas à Kempis Paris, Gaume, 1833, in-18 de 304 pp., dont il y a deux autres éd. in-18 et deux éd. in-32.
IV. Discours sur les publications littéraires du Moyen-Age, suivi d'un errata comprenant près de 2,000 corrections ou rectifications à faire dans la collection des anciens monuments de l'histoire et de la littérature française, publiée par Crapelet... Paris, Ebrard, Sylvestre, 1835, in-8º de 150 + 3 pp.
V. Lettre à Monsieur Crapelet, chevalier de la Légion d'honneur, membre de la Société des Antiquaires de France, pour servir d'appendice au Discours sur les publications littéraires du Moyen-Age et de réponse à sa brochure intitulée : Villonie littéraire de l'abbé Prompsault... Paris, Ebrard, 1835, in-8º de 35 pp.
VI. Allons au Ciel ! ouvrage contenant en substance la morale des pères et celle des philosophes anciens, composé en latin par le card. Bona, sous le titre de : Manuductio ad Cœlum... Paris, Jeanthon, 1836, in-18 de 283 pp., réimpr. en 1862, avec notice sur le card. Bona, par l'abbé J.-L. Prompsault.
VII. Traité de ponctuation et de lecture. Paris, Jeanthon, Ebrard, 1837, in-12 de 135 pp. Réimpr. avec une notice sur l'auteur, par V. Advielle, sous le titre de : Traité historique, théorique et pratique de ponctuation. Pont-Saint-Esprit, 1861, in-18 de 152 pp.
VIII. Traduction des prières de la messe et des vêpres du dimanche. Paris, Crété, 1837, in-18 de 36 pp.
IX. Le consolateur des âmes timorées, par le vén. Louis de Blois, trad. du latin. Paris, Jeanthon, 1837, in-18 de 202 pp. Réimpr. en 1862, avec not. sur le V. Louis de Blois, par l'abbé J.-L. Prompsault.
X. Le Code de la vie spirituelle par le vén. Louis de Blois, trad. du lat. Paris, Jeanthon, 1837, in-18 de 204 pp. Réimpr. en 1862.
XI. Le livre de la vie religieuse, comprenant : Le traité de la vie religieuse, celui des exercices religieux, l'Asile de la pauvreté et l'Alphabet religieux,... par le B. Thomas à Kempis, trad. du lat. et mis en ordre. Paris, Jeanthon, 1837, in-18 de 209 pages. Réimpr. en 1862.
XII. De la charité, ou explication de la loi de Dieu, par saint Thomas d'Aquin, trad. pour la première fois du lat. Paris, Jeanthon, 1837, in-18 de 210 pp. Réimpr. en 1862.
XIII. Le Miroir de la vie spirituelle, par le V. Louis de Blois, trad. pour la première fois du lat. Paris, Jeanthon, 1837, in-18 de 201 pp. Réimpr. en 1862.
XIV. Méthode simple et très commode pour traduire le latin en français. Sceaux, Dépée, 1837, in-18 de 16 pp. C'est une critique des frères Gaume, qu'il accuse de plagiat.
XV. Principes et règles de la vie chrétienne, par le card. Bona, trad. du lat. Paris, Jeanthon, 1838, in-18 de 114 pp. Réimpr. en 1862.
XVI. Motifs qui m'ont déterminé à préférer la religion catholique romaine aux religions protestantes, par le prince Ulric de Brunswick, trad. du lat. Paris, Jeanthon, 1838, in-18 de 142 pp.
XVII. Dictionnaire universel de la langue latine, avec les explications en français. Il n'en a paru qu'un prospectus spécimen de 10 + v pp. (Sceaux, 1839).
XVIII. Grammaire générale et raisonnée de la langue latine. Paris, G. Martin, 1842, grand in-8º de 1,050 pp. C'est le seul vol. paru d'un ouvr. qui en devait former cinq.
XIX. Bulletin de censure, tables mensuelles et critiques de tous les produits de la librairie française, publiées par une soc. d'ecclés, et d'hommes de lettres, sous la dir. de M. l'abbé Prompsault et de M. le marquis Méry de Montferrand. Paris, Crapelet, 1843, in-4º. Il n'en a paru que 4 numéros.
XX. Prosodie latine sur le plan de celle de {279}l'abbé Lechevalier. Paris, Martin et Maire-Nyon, 1843, in-12 de 132 pp.
XXI. Mémoire à consulter pour M. l'abbé J.-H.-R. P..., défendeur, contre M. Alexis R..., négociant, poursuivant en première instance le paiement d'un billet à ordre, souscrit à Mgr l'évêque de V..., en 1830. (Saint-Cloud, Belin-Mandar, 1844), in-8º de 33 pages.
XXII. Dictionnaire raisonné de droit et de jurisprudence en matiere civile et ecclésiastique. Paris, Migne, 1849, 3 vol. in-4º.
XXIII. Consultations pour M. l'abbé R..., curé de S..., diocèse de Bl. Paris, Pillet, 1849, grand in-8º de 24 pp.
XXIV. Bulletin de discipline ecclésiastique, canonique (année 1850). Saint-Cloud, Belin-Mandar, grand in-8º de 3 pp. C'est le prospectus d'une publ. périod., que l'abbé Prompsault avait en vue.
XXV. Manuel législatif à l'usage des fabriques paroissiales. Paris, Perisse, 1851, in-12.
XXVI. Consultation relative au collège Moorat. S.l., 1851, in-4º de 6 pp.
XXVII. Prospectus pour le collège arménien de Samuel Moorat, établi à Paris. Paris, Plon, 1852, in-4º de 4 pp.
XXVIII. Les Mékhitaristes à Venise, insultés par un auteur anonyme. Paris, Schiller, 1852, in-8º de 16 pp.
XXIX. Des Mékhitaristes et en particulier du collège Moorat. Paris, Thunot, 1852, in-8º de 12 pp.
XXX. Histoire de l'église arménienne. Il n'en a été tiré que cinq feuilles, mais le mss. a été cédé en août 1860, au collège arménien de Paris, par l'abbé J.-L. Prompsault, frère et héritier de l'auteur.
XXXI. Lettres au R. P. Dom Guéranger, auteur des Institutions liturgiques. Paris, Pillet, 1852, in-12 de 248 pp.
XXXII. Observations sur l'encyclique du 21 mars, suivies d'une lettre à M. le Ministre des Cultes. Paris, Pillet, 1853, in-12 de 24 pages.
XXXIII. Du siège du pouvoir ecclésiastique dans l'Eglise de Jésus-Christ. Lettres à M. le marquis de Régnon, fondateur et directeur de l'Union catholique. Paris, Dentu, 1854, in-12 de 239 pp. La première de ces lettres a paru séparément : Paris, Dentu, 1853, in-8º de 36 pp.
XXXIV. Nouvelle consultation pour M. l'abbé Régnier, curé de Salbris... Paris, Lacour, 1854, in-12 de 84 pp.
XXXV. Consultation pour M. l'abbé Bordier, prêtre du diocèse d'Angers, réclamant contre son excorporation. Paris, Dubuisson, 1852, in-12 de 24 pp.
XXXVI. Pourvoi, mémoire et requête pour M. l'abbé J.-H.-R. Prompsault, en instance au Conseil d'Etat pour faire déclarer abusifs : 1º une ordonnance en date du 10 août, par laquelle Monseigneur l'Archevêque de Paris condamne deux consultations sur recours en cas d'abus... 2º Le retrait de pouvoirs dont cette ordonnance a été suivie. Paris, Lacour, 1854, in-12 de 72 pp.
XXXVII. Consultation pour M. l'abbé Bourrel, curé doyen de Bapaume (diocèse d'Arras), en instance au Conseil d'Etat. Paris, Lacour, 1854, in-12 de 31 pp.
XXXVIII. Consultation canonique et civile pour MM. les abbés Chapot, chanoine, curéarchiprêtre de Bourg-de-Péage, diocèse de Valence, et Crozat, principal et propriétaire du collège de la même ville... Lyon Vingtrinier, 1857, in-12 de 84 pp.
XXXIX. Lettre de M. Chapot à ses confrères, à MM. les Vicaires généraux et à M. Blanc-Montbrun, curé et chanoine de Valence. Lyon, Vingtrinier, 1857, in-12 de 11 pp.
XL. Lettre de M. Chapot... à MM. Chotain, Chaisson et Michel, vicaires généraux du diocèse de Valence... Lyon, Vingtrinier, 1857, in-8º de 12 pp.
XLI. Réponse de M. l'abbé Chapot, à la circulaire de MM. les Vicaires généraux du diocèse de Valence, en date du 25 avril 1857. Lyon, Vingtrinier, 1857, in-12 de 32 pages.
XLII. Requête à Son Excellence Monseigneur le Ministre des Cultes, en appel comme d'abus, pour M. l'abbé Chapot... et M. l'abbé Crozat,... contre : 1º un mandement et deux ordonnances de Monseigneur l'évêque de Valence, en date du 3 février présente année ; 2º une déclaration d'incompétence donnée à Monseigneur l'Archevêque d'Avignon, notifiée par lettre le 18 mars suivant. Lyon, Vingtrinier, 1859, in-12 de 12 pp.
Ajoutons à cette liste, une Discussion des raisons qu'allèguent les protestants et les jurisconsultes gallicans pour rejeter le concile de Trente, insérée à la suite de l'Histoire de ce concile par Pallavicini, éd. Migne ; Réponse au mandement de S.E. Mgr le cardinal de Bonald, portent condamnation d'un écrit intitulé : Du siège du Pouvoir ecclésiastique... et quantité d'articles dans différents journaux religieux.
#Biogr. Dauph.




Brun-Durand Dictionnaire Biographique de la Drôme 1901

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